dimanche 6 juillet 2014

DOSSIER 1 HAUTES DILUTIONS : "Mémoire de l'eau" : de Jacques Benveniste à Luc Montagnier

L'eau fait (toujours : 25 ans après) couler beaucoup d'encre. 

Les opinions sont souvent très tranchées à propos de ce dossier sur la "mémoire de l'eau" qui est pour le moins complexe, à l'image de cette singulière substance. Plusieurs remarques explique la difficulté d'un débat constructif : 

1) Peu de gens ont lu les publications qui font débat, soit parce que leur lecture n'est objectivement compréhensible que par des initiés, soit par paresse intellectuelle ou mauvaise foi pour ceux qui ont accès aux codes scientifiques 

2) peu de scientifiques ont une quelconque expérience expérimentale de laboratoire sur ce sujet pointu et sulfureux 

3) rien n'est validé par la science « académique » car d'une part, le sujet s'enlise dans des polémiques stériles et circulaires (les « Pour »  versus les « Contre ») depuis le décès de Jacques Benveniste en 2004, avec un manque de propositions expérimentales indépendantes qui fassent consensus (une utopie ???)  et d'autre part parce que les dés des publications scientifiques sont hélas aujourd’hui pipés . Au final, le plus important est que ce sulfureux dossier ressurgisse avec l'espoir qu’enfin des scientifiques des « deux bords » (partisans, sceptiques ou simplement curieux) acceptent de travailler ensemble...Restons ouvert comme l'eau


Jacques Benveniste





La mémoire de l’eau...
... ou comprendre la biologie numérique


Qu’est-ce que la mémoire biologique ?

Expliquer ce qu'est la biologie numérique est impossible sans en exposer le principe. Ce texte n'a pas pour but de rapporter nos résultats scientifiques, mais d'expliquer, le plus simplement possible, cette approche radicalement nouvelle de la biologie. Nous espérons qu'il sera également utile à tous ceux, scientifiques ou non, qui ont quelque difficulté à sauter le pas. Comment croire en effet que l'on peut enregistrer/numériser avec une carte-son d'ordinateur, comme pour un son ou une image, l'activité spécifique d'une molécule à activité biologique : une substance naturelle (histamine, caféine, nicotine, adrénaline...), un médicament, un antigène ou un anticorps, voire la signature immunologique d'une bactérie ou d'un virus ? Imaginons que l'on ait donné un téléphone à Archimède en lui affirmant qu'on peut l'entendre à l'extrémité de la Terre, sans lui expliquer ce que sont les fréquences sonores et leur traduction électromagnétique (EM).

La vie dépend des signaux que les molécules échangent. Par exemple, quand on se met en colère, l'adrénaline "dit" à son récepteur, et à lui seul (en molécule fidèle elle ne parle à aucun autre) de faire battre le cœur plus vite, de contracter les vaisseaux cutanés... Les mots "signal moléculaire" sont très fréquemment utilisés en biologie. Mais lorsque l'on demande aux biologistes les plus éminents quelle est la nature physique de ce "signal", ils restent les yeux ronds, ne comprenant même pas la question. C'est qu'ils se sont mitonné une physique à eux, strictement Descartienne - aux antipodes de la physique moderne - selon laquelle le simple contact (les lois du choc de Descartes, rapidement démenties par Huygens) entre deux structures coalescentes crée de l'énergie et permet un échange d'information. Je l'ai longtemps cru, récité, sans me rendre compte de l'absurdité de la chose, comme pendant des centaines de milliers d'années les hommes ont cru que le Soleil tournait autour de la Terre.

La vérité, celle des faits, est très simple. Elle ne nécessite aucun "effondrement des mondes physique ou chimique". Les molécules vibrent, on le sait depuis des décennies. Chaque atome de chaque molécule et chacune des liaisons chimiques, les "ponts" qui relient les atomes, émettent un ensemble de fréquences qui leur est propre. Ces fréquences spécifiques de molécules simples ou complexes sont détectées à des milliards d'années-lumière grâce à des radiotélescopes. Les biophysiciens les décrivent comme une caractéristique physique essentielle de la matière, mais les biologistes n'envisagent pas que des rayonnements EM puissent jouer un rôle dans les fonctions moléculaires elles-mêmes. On ne trouvera les mots "fréquence" ou "signal" (au sens physique du terme) dans aucun traité de biologie, et encore moins "EM", cause d'excommunication par le Saint-Office Scientifique du biologiste qui en ferait usage.

J'aimerais bien, tel Archimède, avoir eu dans mon bain l'idée géniale : "Euréka, les vibrations des molécules ne leur servent pas à danser la salsa au bal du samedi soir ; elles sont leur outil de travail, qui leur permet d'adresser leurs instructions à la molécule suivante dans la cascade d'événements qui président aux fonctions biologiques, et, probablement dans une large mesure, chimiques". Cela ne fut malheureusement pas le cas. J'ai suivi une démarche purement expérimentale. Après huit années de recherches mes expériences montraient vers 1991 qu'on pouvait transférer le signal moléculaire par un amplificateur et des bobines EM.
En juillet 1995, j'ai enregistré et rejoué ce signal avec un ordinateur multimédia. Une carte- son n'enregistre que des fréquences inférieures à 20.000 Hz. Dans plusieurs milliers d'expériences, nous avons fait "croire" à un récepteur - spécifique d'une molécule simple ou complexe - qu'il était en présence de sa molécule préférée en lui "jouant" les fréquences enregistrées de cette molécule. Afin de parvenir à ce résultat, deux opérations sont nécessaires : 1) enregistrer l'activité d'une substance sur un ordinateur ; 2) la "rejouer" à un système biologique sensible à la substance d'origine.

Il y a donc tout lieu de penser que lorsque c'est la molécule elle-même qui est en présence du récepteur, elle fait la même chose : elle envoie les fréquences que le récepteur est capable de reconnaître. Ce qui veut dire que le signal moléculaire peut être efficacement représenté par un spectre de fréquences entre 20 Hz et 20.000 Hz. La même gamme que pour l'oreille humaine ou la musique. Depuis quelques centaines de milliers d'années les hommes font interagir des fréquences sonores avec un mécanisme biologique, celui de l'humeur. Les musiciens d'ambiance - musique d'ascenseur ou de supermarché - font de la neuropsychobiologie sans le savoir. Les sons aigus et rapides engendrent la gaîté, les aigus et lents la douceur, les sons graves et rapides réveillent l'ardeur guerrière, graves et lents le sérieux, la tristesse, le deuil. Ces sensations sont l'expression de phénomènes physico­chimiques cérébraux déclenchés par des fréquences définies. Nous ne faisons pas autre chose lorsque nous transmettons à des modèles biologiques des activités moléculaires enregistrées.

On peut donc faire l'hypothèse que les systèmes biologiques fonctionnent comme un poste de radio, par corésonnance. Si on le règle sur 92.6 mégahertz, on capte radio-Truc, parce que le poste et la station vibrent à la même fréquence. Si on change un peu le réglage, à 92.7, on ne capte plus radio-Truc mais radio-Machin.

Ces avancées dans la compréhension du mécanisme intime de la reconnaissance et de la signalisation moléculaire ne bouleversent pas la biologie, et encore moins la physique et la chimie. Nous ne retirons rien aux descriptions classiques. Nous faisons un pas de plus dans la connaissance, que nous ajoutons au corpus actuel. C'est la méthode normale du progrès scientifique et il n'y a aucune raison qu'elle soulève imprécations et anathèmes.

La nature électromagnétique du signal moléculaire éclaire bien des zones d'ombre en biologie. On comprend dès lors comment les millions de molécules biologiques peuvent ainsi ne communiquer (à la vitesse de la lumière) chacune qu'avec leur molécule correspondante et elle-seule, condition indispensable du fonctionnement des systèmes biologiques... et pourquoi une modification chimique infime entraîne des conséquences fonctionnelles considérables, ce que les biologistes "structurels" sont incapables d'expliquer. En décidant que ce sont les structures seules qui agissent, ils sont dans un monde pré newtonien où, selon Ptolémée, les astres étaient reliés par des engrenages. D'où l'impuissance de la biologie actuelle à répondre aux grandes pathologies de cette fin de siècle (mon article du Monde du 22 mai 1996, non démenti). Pour passer de cette biologie figée des structures à celle de l'information circulant à la vitesse de la lumière, point n'est besoin de révolution. Enregistrer l'activité des molécules n'implique nullement de nier leur existence, comme cela a été fort stupidement répandu à loisir (elles sont bien à l'origine des messages EM qui leur permettent d'agir) ou la loi d'action de masse (plus il y a de molécules, plus fort est l'effet). Comme si enregistrer la voix d'un chanteur le faisait disparaître ! En d'autres termes, nous n'éliminons ni l'interrupteur ni la lampe. Nous disons qu'entre les deux il y a un fil et des électrons qui y courent. Nous ne sommes pas, tel Cyrano, dans un Autre Monde, qui serait EM, et que nous substituons à l'ancien, moléculaire. Nous captons, dupliquons, transférons - et bientôt modifierons - les signaux EM émis par les molécules exerçant normalement leurs fonctions.

Et l'eau dans tout çà ?

C'est le transporteur d'information. C'est obligatoire, car, comme il y a 10.000 molécules d'eau pour une molécule de protéine dans l'organisme, tout message doit pouvoir passer par l'eau. C'est par des ondes hertziennes de basses fréquences que les sous-marins en plongée communiquent avec la terre, pas par des mégahertz qui ne passent pas dans l'eau. Autrement dit, lorsque des molécules déclenchent un effet biologique, ce ne sont pas elles qui transmettent le signal mais l'eau périmoléculaire, qui sert de relais et probablement d'amplificateur. Le son n'est pas créé directement par le disque compact. Ce dernier porte une information qui n'est audible qu'après amplification par le système électronique.
Mais la mémoire de l'eau ? C'est plus mystérieux, mais pas plus que l'existence même de l'eau, un mélange, liquide à température et pression ordinaires, de deux gaz (?!?!?), qui se dilate en refroidissant (?!?!?). Des domaines cohérents avec des propriétés "laser-like" ont été décrits dans l'eau (E. del Giudice, G. Preparata, G. Vitiello (1988) Water as a free electric dipole laser. Phys. Rev. Lett. 61:1085-1088). Plus récemment, des cristaux "de glace" stables qui comportent un champ électrique ont été identifiés et caractérisés dans l'eau Il reste du travail aux physiciens. Cependant l'eau n'est pas notre sujet d'étude. Ce qui intéresse notre équipe, ce n'est pas le support magnétique et comment il fonctionne, mais le message qui y est enregistré et peut donc être copié et transmis. Nous avons élucidé, nous pouvons le croire avec beaucoup de confiance au vu de nos résultats expérimentaux, la nature physique du signal moléculaire. Le principe est simple, comme de faire exploser un mélange d'air et de pétrole. Mais les conséquences sont immenses. Nous les présentons en détail par ailleurs. En voici un résumé :

Actuellement la seule façon d'identifier une molécule est de transmettre physiquement un prélèvement, le plus souvent invasif, voire destructif, jusqu'à un laboratoire d'analyses. Avec la méthode numérique, on dispose à la source d'un signal qui peut être instantanément transmis et analysé à l'autre bout du monde par des moyens de télécommunication classiques. La détection de substances toxiques, de protéines (antigènes, anticorps, prions) ou de complexes moléculaires (bactéries, virus, cellules anormales...) devient donc possible sans prélèvement physique. Ces méthodes seront applicables à l'industrie chimique, à la bio­médecine et à la surveillance de l'environnement. On pourra par exemple détecter des micro­organismes à distance, pratiquement en temps réel. Les produits issus de plantes transgéniques pourront être identifiées par liaison téléphonique chez le producteur, le distributeur et même dans l'assiette du consommateur. La détection d'une contamination alimentaire par les prions, mais également in vivo chez l'animal ou chez l'homme, deviendrait possible avec les conséquences épidémiologiques et économiques que l'on devine.

La mise en œuvre des méthodes issues de la biologie numérique aura un immense retentissement sur le diagnostic médical et l'industrie agro-alimentaire, avec un impact technologique et commercial considérable.
Une question finale : pourquoi les scientifiques sont-ils si opposés aux évolutions de la science ? Pour défendre leur pré carré ? Pourquoi, au nom de dogmes "intangibles" que l'histoire des sciences a si souvent montré être éphémères, refusent-ils des avancées porteuses de progrès pour leur propre discipline ? Parce qu'elles leur paraissent menaçantes pour leurs pourtant si fragiles certitudes ? Ces questions ne sont pas seulement philosophiques, car ces hommes sont des conseillers écoutés, notamment par les décideurs politiques et industriels. Ils orientent - en fait le plus souvent entravent - les applications nouvelles qui sont l'expression du progrès. Je ne sais d'où viennent ces blocages mentaux, en théorie inconciliables avec l'activité scientifique. Voici cependant une citation qui montrera qu'ils sont éternels (Mécanisme, Encyclopedia Universalis) :

On a un bon exemple des impasses du "mécanisme" dans l'opposition des cartésiens au newtonianisme, qui leur a paru remettre en cause totalement la science nouvelle et faire retourner la pensée en deçà des conquêtes du "mécanisme". L'obstacle réside dans le fait que, chez Descartes, il ne peut y avoir mouvement que par contact et impulsion ; l'action à distance, l'attraction, comme le dira Fontenelle, ne peut être qu'un retour à une physique des sympathies et des qualités occultes... De cette façon, on ne mène pas avec Newton une controverse scientifique ; on le disqualifie pour obscurantisme. C'est ainsi que le milieu des savants français résistera longtemps à la théorie newtonienne, ou plutôt voudra l'ignorer... Mais ce "mécanisme" qui fait obstacle au progrès scientifique est un "mécanisme" figé. Newton contredit sans doute moins le "mécanisme" qu'il ne propose, en provoquant une rupture, un autre modèle de mécanisation de la physique où d'autres mouvements que ceux que produit l'impulsion sont possibles.
A quatre siècles de distance, les mêmes mots, "il faut des molécules" (François Jacob), c'est-à-dire des contacts, des impulsions, selon nos "savants" figés dans le dogmatisme mécaniciste de Descartes ; le même refus d'une action à distance ; les mêmes accusations de retour à l'obscurantisme.
Descartes contre Newton. Nous sommes en bonne compagnie...

Sources J. Benveniste




L'affaire de la mémoire de l'eau : une controverse scientifique 




http://www.france5.fr/emission/retrouve-la-memoire-de-leau/diffusion-du-07-07-2014-14h40 

Voir  ou revoir le documentaire : 

http://www.dailymotion.com/video/x2131b7_on-a-retrouve-la-memoire-de-l-eau_tech 

 Autre vidéo :

https://www.youtube.com/watch?v=vHxvpkoGl5w 

Articles proposés : 

http://jacques.testart.free.fr/index.php?post/texte868 

http://jacques.testart.free.fr/index.php?post/texte884

http://eauseanceilive.blogspot.fr/2013/11/la-memoire-de-leau.html 


Nota Bene : Tout ou presque reste à faire pour comprendre ce phénomène complexe d'information véhiculée par l'eau; notamment il convient de mieux sérier les conditions expérimentales et les paramètres nécessaires (comme la qualité de l'eau employée) pour qu'un effet se manifeste...N'oublions pas que nous sommes en présence d'Aqua complex !

Le script du documentaire :

http://telescoop.tv/reader/544351/on-a-retrouve-la-memoire-de-l-eau.html

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A écouter ce  multiplex de RTL qui reprend l'historique de l'affaire. Une émission intéressante et instructive, à ceci près que certains protagonistes importants de "l'affaire" ne sont pas cités (Bernard Poitevin, Michel Schiff et d'autres anciens collaborateurs de l'ex unité INSERM 200) et que le parallèle entre Montagnier et Emoto porte à confusion comme le signale à juste titre Marc henry sur sa page FB : "Marrier Montagnier et Emoto. Fallait oser, RTL l'a fait. D'un côté un prix Nobel authentique et de l'autre un "docteur" auto-proclamé n'ayant aucune formation scientifique... Quel grand écart!!! Les amateurs apprécieront et les détracteurs trouveront là du pain béni pour ridiculiser le travail de Luc Montagnier. Affaire à suivre..." 


 http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/la-memoire-de-l-eau-7773173385 


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Le film de l'émission à revoir sur "You tube":

https://www.youtube.com/watch?v=Lu5IlRUIEEA 

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Un texte de la revue "Alternative Santé" qui contient deux articles. 

Le premier  d'Alexandre Imbert fait référence à M. Emoto (voir ci-dessus la position de Marc Henry que je partage totalement). 

Le second de Michel Dogna qui attribue l’intérêt de Jacques Benveniste pour les observations sur les dilutions homéopathiques et le rôle énigmatique de l'eau à Vinh Luu. Pour bien connaitre ce dossier, il « oublie » les apports majeurs d'autres protagonistes et collaborateurs de JB comme notamment le Dr Poitevin. Par ailleurs, dans la célèbre publication de "Nature" sur les basophiles; ceux-ci ne dégranulent pas comme indiqué mais changent seulement de couleur (achromasie) avec les dilutions d'anti Ig E. Pour le reste de l'article qui concerne l'objectif affiché de Luc Montagnier de déceler des "signatures" électromagnétiques d'agents infectieux dans certaines pathologies, il y a encore loin de la coupe aux lèvres... A suivre donc comme "le lait sur le feu" pour savoir comment réagira la communauté scientifique aux travaux de Luc Montagnier !


http://form.dolist.net/o/?s=4403-444645-10272-57dbfb13&v=1 

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Déceler des signaux bioélectriques spécifiques dans des tissus biologiques ou des "signatures" moléculaires ou cellulaires spécifiques n'est pas une utopie scientifique. Ainsi en 2003 déjà, des biologistes de l'école des Arts et des Sciences de l'Université Tufts ont mis en évidence un signal bioélectrique qui permet identifier des cellules précancéreuses.


Pour les spécialistes, le lien vers la publication :

 

A titre d’exemple, ce brevet déposé en 2000 qui concerne un dispositif de traitement de cellules tumorales à l'aide de signaux électromagnétiques

http://www.google.com/patents/WO2000004951A1?cl=fr&hl=fr 

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Luc Montagnier, les ondes et la médecine ? (revue Orbs, l'autre planète)


Le documentaire "On a retrouvé la mémoire de l'eau" est la source de quelques vagues depuis sa diffusion sur France 5 au cours de l'été. Il sera à nouveau diffusé le 4 août prochain. 


En soutien à ce documentaire remarquable, nous avons décidé de mettre à la disposition du public l’intégralité de « l’incroyable découverte médicale de Luc Montagnier », au sommaire de Orbs #0, sous la forme d’un .pdf à consulter ou télécharger en libre accès.

 

Ces éléments, consultables dans Orbs #0 et maintenant disponibles en ligne, participent du dossier scientifique de la mémoire de l’eau. Nous continuerons, dans les prochains mois, à aborder dans Orbs la question de la mémoire de l’eau en l’éclairant d’autres recherches, encore méconnues.



 
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La « mémoire de l’eau » : et après ?
(www.ouvertures.net) 15/07/2008


L’hypothèse quantique de Francis Beauvais : « Tout se passe comme si le résultat réellement observé au cours de l’expérience dépend de ce qui est attendu par l’expérimentateur ». 

http://www.ouvertures.net/la-memoire-de-leau-et-apres/ 


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La mémoire de l’eau : vers une révolution en médecine

Dans cet article de l'INREES (Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires) datant de 2015, l'auteure traite des potentialités médicales liées aux capacités mnésiques de l'eau. Cependant, la crédibilité de l'ensemble de ce papier est malheureusement amoindrie par des amalgames et des contre vérités de sa rédactrice. En effet, il y est fait mention d'une part d'un lien tout à fait inexact entre le pH de l'eau et l'acidité de l'organisme (article en préparation sur ce sujet) et d'autre part de la supposée sensibilité de l'eau aux diverses intentions révélée par la glace selon Masaru Emoto (lire : https://lanaturedeleau.blogspot.fr/2012/11/les-cristaux-de-glace-et-la-memoire-de.html)



http://www.inrees.com/articles/memoire-eau-revolution/ 

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Le Pr. Luc Montagnier a-t-il retrouvé la mémoire de l’eau ? 

« C’est à nos collègues physiciens et chimistes que nous demandons de trouver l’explication : il est déjà connu que l’eau liquide peut changer de conformation sous l’effet de champs magnétiques, que dans l’ADN d’autre part existent des mouvements d’électrons à grande distance, notamment après son oxydation. C’est une énigme qui va sans doute être résolue un jour, à condition bien sûr qu’on ne commence pas par nier le phénomène ! »

http://www.wikistrike.com/2014/09/le-pr-luc-montagnier-a-t-il-retrouve-la-memoire-de-l-eau.html 


 

Le Pr. Luc Montagnier explique son expérience de reproduction de l’ADN à distance (www.ouvertures.net) 8/9/2014


http://www.ouvertures.net/luc-montagnier-explique-son-experience-de-reproduction-adn-a-distance/ 

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Les études actuelles de Luc Montagnier viennent corroborer le fait que les ondes électromagnétiques font partie de la chimie du corps.

http://www.robindestoits.org/Est-ce-que-les-bacteries-peuvent-vraiment-engendrer-des-ondes-magnetiques-Luc-Montagnier-2011_a1234.html 

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Le professeur Montagnier et la « mémoire de l’eau »




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Les découvertes de Luc Montagnier révolutionnent la compréhension du vivant

http://www.agora-erasmus.be/Les-decouvertes-de-Luc-Montagnier-revolutionnent-la-comprehension-du_07604
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Luc Montagnier works on "ultra-dilutions - Right observations, Wrong interpretations


http://dialecticalhomeopathy.com/2011/09/27/luc-montagniers-observations/       

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Une grande découverte du Pr L. Montagnier 

http://www.danze-jm-biophysica.be/main.html 
+ menu de gauche, rubrique "L'homéopathie : découverte"


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Les publications de Luc Montagnier



# Electromagnetic Signals Are Produced by Aqueous Nanostructures Derived from Bacterial DNA Sequences;  2009

Abstract:

A novel property of DNA is described: the capacity of some bacterial DNA sequences to induce electromagnetic waves at high aqueous dilutions. It appears to be a resonance phenomenon triggered by the ambient electromagnetic background of very low frequency waves. The genomic DNA of most pathogenic bacteria contains sequences which are able to generate such signals. This opens the way to the development of highly sensitive detection system for chronic bacterial infections in human and animal diseases.



  #   DNA waves and water


Abstract.
Some bacterial and viral DNA sequences have been found to induce low frequency electromagnetic waves in high aqueous dilutions. This phenomenon appears to be triggered by the ambient electromagnetic background of very low frequency. We discuss this phenomenon in the framework of quantum field theory. A scheme able to account for the observations is proposed. The reported phenomenon could allow to develop highly sensitive detection systems for chronic bacterial and viral infections

 




# Transduction of DNA information through water and electromagnetic waves


The experimental conditions by which electromagnetic signals (EMS) of low frequency can be emitted by diluted aqueous solutions of some bacterial and viral DNAs are described. That the recorded EMS and nanostructures induced in water carry the DNA information (sequence) is shown by retrieval of that same DNA by classical PCR amplification using the TAQ polymerase, including both primers and nucleotides. Moreover, such a transduction process has also been observed in living human cells exposed to EMS irradiation. These experiments suggest that coherent long range molecular interaction must be at work in water so to allow the observed features. The quantum field theory analysis of the phenomenon is presented.

 

http://www.researchgate.net/publication/270594226_Transduction_of_DNA_information_through_water_and_electromagnetic_waves 

Cliquer sur "full text"


DNA Sequence Reconstituted from Water Memory?
 
http://www.i-sis.org.uk/DNA_sequence_reconstituted_from_Water_Memory.php

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Le Pr Montagnier reste sourd aux interpellations de deux biochimistes sur ses expériences sur la mémoire de l’eau


http://www.ouvertures.net/pr-montagnier-sourd-aux-interpellations-de-biochimistes-sur-ses-experiences-sur-la-memoire-de-l-eau/ 

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DNA waves don't wash

Le point de vue critique de Philip Ball (auteur de plusieurs livres sur l'eau) concernant les expériences de Jacques Benveniste et Luc Montagnier. Si ce dernier considère, les propriétés "mnésiques" de l'eau comme un mythe (http://www.nature.com/news/2004/041004/full/news041004-19.html), sa remarque sur l'aspect purement théorique de l'hypothèse des domaines de cohérence (servant de support à une explication des hautes dilutions ou du transfert d'informations moléculaires dans l'eau) semble à priori pertinente à moins qu'il n'existe des expérimentations à même de démontrer cette conjecture...

https://www.chemistryworld.com/opinion/dna-waves-dont-wash/6373.article

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Livre "L'eau a t-elle une mémoire?"
 
https://lanaturedeleau.blogspot.fr/2016/11/livre-leau-t-elle-une-memoire.html 
 
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Compléments :

https://lanaturedeleau.blogspot.fr/2016/07/dossier-2-memoire-de-leau-hautes.html

https://lanaturedeleau.blogspot.fr/2015/11/dossier-3-memoire-de-leau.html 


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L’affaire de la mémoire de l’eau traitée par le journal ‘Le Monde’ (1986 – 1989)


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Le Pr Montagnier reste sourd aux interpellations de deux biochimistes sur ses expériences sur la mémoire de l’eau (9/03/2016)

"Pour tenter de mettre fin aux controverses autour des expériences du Pr Montagnier sur la mémoire de l’eau, nous lui avons transmis des propositions d’expériences complémentaires élaborées avec des biochimistes. Sans réponse de sa part, nous les rendons publiques."

A lire les commentaires, certes très techniques mais qui alimentent un réel débat scientifique et permettent de sortir des polémiques stériles "pour/contre", "j'y crois/j'y crois pas" et des opinions dogmatiques de nombreux commentateurs qui n'ont jamais lu la moindre publication sur ce sujet complexe et discourent en totale méconnaissance de cause !

https://www.ouvertures.net/pr-montagnier-sourd-aux-interpellations-de-biochimistes-sur-ses-experiences-sur-la-memoire-de-l-eau/ 

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 Webinar conference to celebrate the 30 year anniversary of the "30 june 1988" publication in "Nature"


https://www.facebook.com/mathieu.coste/videos/10157639470923009/

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DNA Sequence Reconstituted from Water Memory?

http://www.i-sis.org.uk/DNA_sequence_reconstituted_from_Water_Memory.php 

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La biologie numérique : historique et témoignage de  Jamal Aissa (collaborateur de Jacques Benveniste et Luc Montagnier)

 
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Hommage de l’INA (Institut National de l'Audiovisuel) au chercheur Jacques Benveniste


En juin 1988, Jacques Benveniste, chercheur de l’Inserm, publiait dans "Nature" un article explosif sur la "mémoire de l'eau". Cette publication allait rapidement provoquer l'une des polémiques scientifiques les plus violentes du 21e siècle. Retour sur le traitement médiatique de l'affaire.



https://www.ina.fr/contenus-editoriaux/articles-editoriaux/1988-jacques-benveniste-et-la-memoire-de-l-eau