dimanche 24 janvier 2016

QUALITE DE L'EAU : le test microbiologique "MicrotoxO"


Le test «MicrotoxO»

La 1ère phase de la méthode d’évaluation globale de la qualité de l’eau «Eau’listic» est constituée par le test microbiologique dénommé «MicrotoxO».

(http://lanaturedeleau.blogspot.fr/2016/01/qualite-de-leau-eaulistic-une-methode.html)

L'idée de développer ce modèle microbiologique totalement innovant, sanitairement pertinent et peu coûteux est venue d'un double constat : 
1) la composition et l'équilibre de l'écosystème microbiotique (flore intestinale) est une composante majeure de notre état de santé, 
2) l'eau représente 99% des molécules de nos cellules et des micro-organismes qui composent notre organisme. Cette eau provient majoritairement de l'imbibition par des liquides que nous absorbons et notamment de nos eaux de boisson

Ce test se présente comme une "déclinaison épimicrobiologique" d’évaluation qualitative de l’influence de toute eau de boisson sur les microorganismes courants, notamment les communautés bactériennes de notre microbiote (flore) intestinal.


Plus concrètement et précisément, ce modèle expérimental consiste à tester l’impact d’une eau de boisson (versus une ou plusieurs eau(x) de référence) soit à titre de "coup de sonde" sur une souche d'Escherichia Coli par exemple, soit sur la croissance d'une collection de germes sélectionnés (bactéries et levures), pathogènes mais aussi utiles, de notre microbiote intestinal dont l'équilibre constitue un facteur primordial de notre état de santé. 

Ce microbiote représente l'ensemble des communautés microbiennes présentes dans le côlon. Celles-ci peuvent être identifiées en partie par un profil microbiologique fécal.

(A lire : http://www.vitaliseurdemarion.fr/officiel/profil-bacterien-equiflore-outil-diagnostique-innovant/). 

Ce "portrait microbien" réalisé depuis des dizaines d'années sur de très nombreux patients est considéré comme, soit "équilibré" avec dominance des microbes biogènes c'est-à-dire utiles, soit "déséquilibré" en cas de présence indésirable ou d'excès de germes pathogènes. Il est déterminé par de nombreux paramdont l'eau.



Source : 
http://maigrir-malin.blogspot.fr/2014/05/microbiote-infections-troubles.html 


Microbiote intestinal : bonnes et mauvaises bactéries

https://microbiote.santelog.com/2017/03/28/microbiote-intestinal-il-y-a-les-bonnes-et-les-mauvaises-bacteries/




                    PRM (Profil Référentiel Microbien)

                                                     1-    Définition

L’objet de la bactériologie alimentaire est d'identifier les principales familles microbiennes témoins et actrices de la relation entre le consommateur et son aliment. A partir d’un échantillon de prélèvement biologique l’analyse consiste, après mise en culture, à identifier les éléments microbiens présents. Cette identification aidera à définir une alimentation ou l'aptitude à la transformation la plus adaptée possible.

Toute entité biologique, dans sa partie visible, est constituée d’une «structure physico-chimique» (corps physique) associée à une «structure microbienne» (Microbiote). L’intégrité de l’entité est définie par le mode de relation entre ces deux structures interdépendantes, la symbiose ou la catabiose. On peut qualifier de biogènes les micro-organismes corrélés à un état de santé et de pathogènes ou d'indésirables ceux qui correspondent à un état pathologique ou perturbé (précurseur de l'état pathogène). Le "corps microbien" est le reflet subtil de l’état biologique du corps physique.

                                  2 - Les bactéries accessibles

a) Les bactéries pathogènes

Leur présence est corrélée à une qualité physico-chimique défectueuse du milieu en voie de dégradation due soit à des erreurs d’hygiène sur la chaîne agroalimentaire soit des accidents de santé des animaux ou des végétaux: E coli, salmonelle, Staphylocoque pathogène, listéria.

b) Les bactéries indésirables "opportunistes"'

Leur présence est corrélée à une qualité physico-chimique défectueuse du milieu en instance de dégradation due soit à des erreurs d’hygiène sur la chaîne agroalimentaire soit à des anomalies de santé des animaux ou des végétaux: moisissures, levures, coliformes (dont E. Coli, germe de référence), C2 (pseudomonas, proteus...), entérocoques, anaérobies (Clostridium perfringens).

c) Les bactéries biogènes (symbiotiques)

Leur présence est corrélée à une qualité physico-chimique optimale du milieu assure l’état de santé de chaque espace de la chaîne agroalimentaire. L’activité optimale des bactéries lactiques est liée à une concentration définie par rapport au type de milieu et selon un rapport précis entre lactobacilles et lactocoques.

                               3 - Exemple



                          4- Santé en écologie microbienne
L’état de santé d’une entité vivante (ou milieu) se caractérise par l’absence de pathogènes, la presque absence de germes indésirables et la présence (ou la possibilité de développement) d’un nombre optimal de flore biogène ou symbiotique.

Les microorganismes peuvent donc être pathogènes ("en soi" ou de manière opportuniste) ou au contraire biogènes. Dans le cadre de l'étude du système intestinal de l'homme ou de l'animal, l'analyse des flores microbiennes du milieu intestinal permet d'évaluer la composition et la nature de l'équilibre entre flore biogène et flore pathogène et de définir un état de santé ou de maladie. Si la flore biogène est naturellement présente, la présence accidentelle de bactéries pathogènes n'entraînera que des symptômes mineurs et à terme la disparition des germes indésirables. Si la flore biogène est déficiente, le développement de bactéries pathogènes entraîne des problèmes sanitaires plus ou moins importants selon l'état de résistance de l'hôte. Les méthodes de régulation des flores microbiennes sont de deux types : préventives (obtention d'aliments adaptés au besoin biologique de l'animal et des microorganismes biogènes) ou biothérapies spécifiques. La méthode isothérapique alimentaire est un exemple de méthode de régulation, fondée sur le principe de similitude : la souche bactérienne susceptible de définir ou d'affecter l'état de l'aliment ou de son assimilation par un organisme sert à l'élaboration de la préparation utilisée alors comme complément alimentaire.

Bernard Berthet

http://www.nutritherapeutes.com/documents/CV_BERTHET_Bernard.pdf
https://docs.wixstatic.com/ugd/3a6591_feb546ea307f40bd9eb51388e1c0ac22.pdf

 En savoir plus et faire faire un PRM à partir du microbiote fécal :

http://www.vitaliseurdemarion.fr/officiel/profil-bacterien-equiflore-outil-diagnostique-innovant/ 

A lire : Bonnes et mauvaises bactéries pour la flore intestinale :

http://www.creer-son-bien-etre.org/bonnes-et-mauvaises-bacteries-pour-la-flore-intestinal 

Microbiote : ces bactéries qui nous gouvernent (article + vidéo)


L'intestin, un organe non exclusivement composé de cellules humaines, mais aussi de bactéries en plus grand nombre. Cette découverte bouleverse la perception que l'on avait du corps humain et ouvre la porte à la compréhension de maladies à priori aussi éloignées l'une de l'autre que l'obésité et l'autisme 

Le microbiote intestinal


http://www.santeromande.ch/TSR36_9/20130123_1.html 


Comprendre les rôles du microbiote intestinal :

https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/microbiote-intestinal-flore-intestinale 


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Notre idée originelle est de tester l'impact de la qualité de l'eau que nous buvons (facteur "épimicrobiologique") sur l'écologie des populations microbiennes (qu'elles soient nuisibles ou favorables à notre santé) présentes dans nos intestins. 
Autrement dit, ce test a pour objet de quantifier la biocompatibilité microbiotique d’une eau de boisson.

Une première étude préliminaire a été réalisée en 2014 et 2015 sur une eau modifiée par un système moderne de dynamisation de type «Violet-Bignand». Le nom de marque de l'appareil utilisé n'est pas indiqué pour des raisons de confidentialité. Le choix de cette nature d'eau tient au fait que celle-ci est à la fois l’une des plus connues, consommées et questionnantes parmi les eaux modifiées. 

Ce type d'eau modifiée a donné et donne toujours lieu à nombre de d'écrits spéculatifs et allégatifs concernant notamment les conceptions techniques (paramètres électroniques, rôle et qualité de la cire d'abeille...) et les théories explicatives des divers effets biologiques constatés par l'ingénieur Marcel Violet.

Cependant aucune étude sur des modèles biologiques n'a, à notre connaissance, été effectué avec des protocoles précis et élaborés dans des laboratoires agréés depuis la disparition de cet ingénieur.  

Or, l'intérêt et la finalité de consommer des eaux modifiées (dynamisées) n'est-il pas d'en connaitre leurs effets biologiques et leurs impacts sur notre santé et notamment celle de notre micobiote intestinal ?

 L'eau modifiée "Violet-Bignand"

Pour les personnes qui découvrent ce genre de dynamisation de l’eau, voici quelques références documentaires pour appréhender et mieux comprendre la nature de cette eau modifiée :


3)  Une présentation des travaux de Stalinas Bignand et Marcel Violet dans l’article «structure et propriétés de l’eau » (pages 3 et 4 ) de Jacques Boislève



Un premier essai microbiologique

La première étape de cette expérimentation consiste à cultiver une souche bactérienne (Escherichia Coli) sur un milieu nutritif standard dans des boites de pétri.

La seconde étape est réalisée en effectuant un repiquage de la culture en phase «stationnaire», c’est-à-dire quand la croissance bactérienne est à son optimum.  Après dilution, les bactéries sont remises en culture sur un milieu gélosé dont la fraction aqueuse est constituée de l’eau filtrée du laboratoire d'analyse.  

On compare ensuite le nombre de Colonies Formant Unité par gramme (cfu/g) du lot témoin (eau filtrée) par rapport au(x) lot(s) contenant des eaux modifiées (obtenues à partir de l'eau filtrée) : a) eau filtrée dans laquelle trempe une électrode en cuivre et b) même dispositif mais avec l'électrode en cuivre relié à un dispositif de dynamisation de «Violet-Bignand»


Dans la première étude, il a été comparé l'effet sur la croissance bactérienne de l’eau témoin  à une eau dynamisée au cuivre, contenues dans des géloses


Analyse : On note une forte décroissance bactérienne en pourcentage de la souche d'E. Coli avec la gélose B au cuivre "dynamisé" (- 57% pour 30' et - 90% pour 60') comparativement à la gélose B témoin.

Rq : les E. Coli thermotolérants sont  des bactéries fécales qui fermentent le lactose à 44° C

Dans la seconde étude, on compare cette fois-ci les effets de l’eau témoin, de l’eau dans laquelle a trempé une électrode en cuivre (= cuivre «passif») et de l’eau avec l’électrode en cuivre reliée au dynamiseur VB (= cuivre «dynamisé»). Le but visé était de voir s'il existait une différence sur la dynamique bactérienne entre l'eau au cuivre "passif" et l'eau au cuivre "dynamisé"



Analyse : On remarque d'abord qu'il n'y a aucune différence de croissance bactérienne entre l'eau témoin et l'eau avec cuivre "passif". En revanche, avec l'eau dynamisée au cuivre, la diminution du nombre de colonies est de - 42% pour la dilution 2 (30' de dynamisation) et de - 50% (60').

Bilan de l'étude 

Ces résultats sont indubitablement encourageants. Cependant, ils ne permettent pas de tirer de conclusions définitives pour valider ce modèle d'évaluation qualitative de l'eau. En effet, d'une part, ils résultent d'une seule étude préliminaire et d'autre part, ils ne concernent qu'un type d'eau modifiée par un seul appareil. 

Nonobstant ces remarques nécessaires, ce modèle microbiologique semble mettre en évidence un effet inhibiteur net d'une eau dynamisée au cuivre par un appareil de type "Violet-Bignand" sur une culture bactérienne d'Escherichia Coli. Cet effet n'est visible qu'à condition que l'eau dynamisée imprègne suffisamment longtemps le milieu de culture. Cette étude a été réalisée par un microbiologiste spécialisé en contrôle de qualité alimentaire. Il étudie notamment depuis une trentaine d'années la biocompatibilité alimentaire, à l'aide de profils microbiens personnalisés (recherche de 12 germes; bactéries, levures, moisissures... soit pathogènes, soit utiles c-à-d biogènes)

A l'avenir, il serait des plus intéressant d'utiliser ce modèle microbiologique avec :            
 a) plusieurs appareils de dynamisation "Violet-Bignand" , 1) en parallèle sur des cultures bactériennes  pathogènes et utiles (lactobacilles), 2) avec différentes métalliques (cuivre, argent...) ou non (carbone, quartz...)
b) tout autre appareil de dynamisation (PSE : Procédés de Structuration de l'Eau).
 
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En définitive, cette première expérimentation à l'aide d'un modèle biologique simple, peu couteux (quelques centaines d'euros) et pertinent apparait être un outil prometteur et opératif pour évaluer la compatibilité microbiotique de toute eau de boisson

NB : Il s'adresse notamment  à tout concepteur ou distributeur d'eaux filtrées et/ou modifiées par les multiples techniques de dynamisation (PSE = Procédés de Structuration de l'Eau, lire : https://lanaturedeleau.blogspot.fr/2013/07/la-nature-de-leau-nouveau-disponible.html). 

 L'avantage pour les distributeurs d'eaux filtrées et/ou dynamisées qui auront réalisé ce test sera évident par rapport à ceux qui, encore très nombreux, se contentent d'argumentaires purement spéculatifs, auto-validés et allégatifs (c-à-d, sans expérimentations de laboratoire ou de terrain, validées de manière indépendante ) sur les supposées qualités et propriétés des eaux distribuées ou de simples témoignages d'utilisateurs. A terme, la liste des entreprises ayant effectué ce test sera rendu public via ce blog mais elles posséderont la propriété intellectuelle des résultats , leur laissant la possibilité ou non de communiquer sur ceux-ci. 




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La mise en œuvre du test MicrotoxO

Le test MicrotoxO est un modèle d'étude princeps donc susceptible de modifications en raison des conditions expérimentales à mettre en œuvre selon les dispositifs de production d'eau ou les eaux à tester.  La prestation de base de ce test comprend une étude comparative entre une (ou plusieurs) eau(x) témoin(s) et une (ou plusieurs) eau(x) à tester. 

Deux versions du test existent : Option 1, étude sur une souche bactérienne d'Escherichia Coli (pathogène) et une souche de Lactobacille (germe utile ou biogène).  Option 2, étude sur 7 germes (bactéries, levures, moisissures). Certains de ces microbes  sont pathogènes, d'autres sont utiles En effet, il nous semble logique et important de tester les effets (inhibiteurs ou activateurs) de la qualité d'une eau, à la fois sur un germe pathogène mais aussi sur un germe biogène (utile) pour apprécier dans son intégralité,  les incidences d'une eau de boisson sur des germes courants de notre microbiote intestinal.

Chaque manipulation pour les différents lots est reproduite 3 fois (triplicata).

La prestation inclut l'élaboration d'un contrat et d'un protocole de recherche personnalisés, la réalisation des expérimentations microbiologiques et l'analyse des résultats par des personnes d'horizons pluridisciplinaires et qualifiées en la matière (actuellement 1 microbiologiste, 1 docteur en médecine, 1 docteur vétérinaire, et 1 biophysicien).

Contractuellement, il est important de préciser que les résultats et interprétations appartiennent au commanditaire de l'étude (au titre de la propriété intellectuelle), ce qui lui garantit la confidentialité des données.  Néanmoins, ce dernier peut décider de la partager avec le concepteur du test et le laboratoire prestataire, ce qui permettrait de les rendre publics.

 
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Addenda

Un auteur pose la question pertinente d'une possible pollution électromagnétique par les compteurs Linky des appareils "Violet-Bignand".  Par ailleurs, son argumentaire sur "l'effet placebo" de ce type d'appareils est contredit par les résultats de cette première étude en microbiologie avec le test MicrotoxO

http://silicium.blogspirit.com/archive/2016/02/24/linky-va-booster-les-dynamiseurs-violet-3067245.html

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Les résultats complets (bactéries pathogène et utile) des premières eaux "modifiées" ont été mis en ligne début 2018. Les premières données obtenues sont des plus instructives et démontre toute la pertinence et l'utilité de ce test novateur (Voir ci-dessous).  

  Plusieurs autres eaux "modifiées" sont en cours d'étude.

Ces résultats princeps sont encourageants et pourraient à l'avenir permettre d'investiguer  des recherches appliquées en microbiologie dans les domaines de la boulangerie, de la brasserie... sur l'impact de différentes qualités d'eau utilisées. 




Le magazine « Nexus » et la dynamisation de l’eau



La revue Nexus publiait en novembre-décembre 2016 (n° 107), un article intitulé «Est-il possible de boire une eau saine en France ?» signé de la plume d’Hélène Hodac; une journaliste freelance. Le document original  (19 pages, plus de 45000 signes, non divulguable en raison des droits de propriété intellectuelle de l'auteure) a non seulement été largement écourté mais surtout profondément «remanié et dénaturé» par le comité de rédaction de la revue.


Outre l’occultation complète de mon texte (ainsi que de la contribution de Richard Haas sur la BioElectronique de Vincent) présentant la méthode d'évaluation de la qualité de l'eau "Eau'listic" ainsi que le test MicrotoxO, ce papier présente de sérieuses lacunes et contre-vérités informationnelles.


Il m’importe ici, sans souci de créer une polémique le plus souvent stérile et inutile de rétablir la véracité des faits.


Ainsi à propos des méthodes de dynamisation de l’eau, l'article notamment à travers les propos de Bertrand Palm (confirmés par Hélène Ho Dac):


« … Certains mettent en avant le fait que les graines germées poussent mieux ou que les fleurs coupées tiennent plus longtemps avec une eau dynamisée. Une observation qui reste à prouver. Sauf que de toute façon, cela ne prouve pas comment l'eau morphogénique des cellules humaines peut en bénéficier, ni même comment dans un premier temps notre microbiote et les cellules de notre paroi intestinale vont recevoir et interpréter l'information. D'un point de vue strictement scientifique, rien n'indique donc que la dynamisation de l'eau soit meilleure pour la santé. Il convient de reconnaître que nous sommes ici dans une pensée spéculative. "On est de fait dans le domaine de la croyance, et la croyance est quelque chose de personnel, explique Bertram Palm, on ne peut pas dire "il faut le faire", puisqu'on n'a pour l’instant aucun moyen de démontrer que tel système est mieux que tel autre



Les 5 premiers résultats du test MicrotoxO sur des eaux «modifiées» infirment totalement les commentaires de Mr Bertram Palm. Ceux-ci s'avèrent donc gratuits et infondés, ils témoignent d'une absence de connaissances sur les propriétés de certaines eaux "dynamisées" ! 


PS : A noter que la proposition d’un correctif de la part du directeur de publication de cette revue n’a jamais été suivi d’effet


 

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A suivre les résultats du test MicrotoxO
 
https://lanaturedeleau.blogspot.com/2018/10/qualite-de-leau-resultats-test.html