How homeopathy work ? The molecular imprinting theory (Chandran K. C)
Parmi
les théories du mode d'action des hautes dilutions figure celle de
l'empreinte moléculaire, brièvement décrite ci-dessous. (A noter qu'il
n'est pas certain que les mécanismes en
jeu pour expliquer les hautes dilutions soient tout à fait similaires à
ceux du "transfert d'activité moléculaire spécifique à distance"
utilisé dans les travaux de Luc Montagnier.)
La
théorie MIT (Molecular Imprints Therapeutics) se réfère à une hypothèse
scientifique qui propose un modèle rationnel du mécanisme biologique en
jeu dans la thérapeutique homéopathique.
Selon l'hypothèse du MIT, la dynamisation (succussion) induit un
processus « d'empreinte moléculaire » dans lequel la conformation des
molécules médicamenteuses est « imprimée » ou gravée en tant que
nano-cavités faites de liaisons hydrogène en trois dimensions au sein
d’une matrice supramoléculaire d’eau et d'alcool éthylique, à travers un
processus d'interactions moléculaires "hôtes-invités». Ces «empreintes
moléculaires» ou «hydrosomes» sont les principes actifs des dilutions post-Avogadro utilisées comme médicaments homéopathiques.
En raison de cette affinité de conformation, les empreintes moléculaires
peuvent agir comme des« trous de serrure artificiels » pour les
molécules de médicaments spécifiques utilisés afin de réaliser cette
empreinte ainsi que pour toutes autres molécules pathogéniques possédant
des groupements fonctionnels «similaires» à ces molécules
médicamenteuses. Lorsqu'elles sont utilisées comme agents
thérapeutiques, ces empreintes moléculaires se lient sélectivement à des
molécules pathogéniques ayant une affinité de conformation et les
désactivent, libérant ainsi des molécules biologiques à partir des
inhibitions causées par ces molécules pathogéniques. Selon l'hypothèse
du MIT, ceci constitue le mécanisme biologique thérapeutique des hautes dilutions utilisées en homéopathie.
http://dialecticalhomeopathy.com/
Selon
ce même auteur les mélanges eau-alcool utilisées dans les préparations
homéopathiques stabiliseraient les liaisons hydrogène des coquilles
d'hydratation favorisant la formation des hydrosomes
http://dialecticalhomeopathy.com/2011/09/26/study-water-and-ethyl-alcohol-to-understand-the-molecular-processes-involved-in-potentization/
* * *
La théorie MIT (Molecular Imprints Therapeutics)
Traduction (personnelle) texte Chandran K. C
https://www.facebook.com/notes/chandran-kc/without-a-scientifically-viable-working-hypothesis-you-cannot-conduct-a-genuine-/1079575258725708
Sans une « hypothèse de travail» scientifiquement viable, vous ne pouvez pas effectuer une véritable recherche pour comprendre «Comment fonctionne l’homéopathie».
Les chercheurs sur les nanoparticules homéopathiques ont procédé sans
hypothèse, ce qui les a inévitablement conduit à des expériences mal
conçues, à des observations inexactes, de fausses interprétations, des
conclusions et des théories stupides et totalement absurdes.
La
méthode scientifique est un ensemble de techniques pour étudier des
phénomènes, acquérir de nouvelles connaissances, ou pour corriger et
intégrer des connaissances antérieures. Pour être qualifiée de
scientifique, une méthode d'analyse doit être fondée sur des preuves
empiriques et mesurables reposant sur des principes spécifiques de
raisonnement. C’est une méthode ou procédure consistant en une
observation systématique, des mesures et expériences, et la formulation
d’essais-erreurs qui modifient l'hypothèse proposée.
La
principale caractéristique qui distingue une méthodologie scientifique
d'autres méthodes d'acquisition des connaissances est que les
scientifiques cherchent à laisser la réalité parler d'elle-même.
L’hypothèse se transforme en théorie lorsque les conjectures basées sur
des hypothèses sont confirmées. L’hypothèse est écartée ou modifiée
lorsque les prédictions se révèlent fausses.
Les
chercheurs proposent une hypothèse à titre d’explications pour un
phénomène inexpliqué mais bien réel ainsi que la proposition d’études
expérimentales pour tester cette hypothèse par le biais de prévisions
qui en découlent. Ces mesures doivent être reproductibles, pour se
prémunir d’erreurs ou d’artefacts expérimentaux. Certaines recherches
peuvent englober des domaines d’investigations plus larges qui peuvent
regrouper de nombreuses hypothèses indépendantes qui forment un ensemble
cohérent.
Une
hypothèse est issue d’une tentative de réponse à une question qui se
pose naturellement en présence d’un phénomène identifié. C’est une
conjecture fondée sur les connaissances acquises lors de la formulation
de la question.
Pour
être considéré comme scientifiquement viable, une hypothèse doit être
réfutable, ce qui signifie que l'on peut identifier un résultat
expérimental qui entre en conflit avec les prédictions déduites de
l'hypothèse à travers une hypothèse nulle; sinon, elle ne peut pas être
correctement testée.
La
théorie MIT (Molecular Imprints Therapeutics) propose l'hypothèse
suivante pour répondre à la question de savoir comment fonctionne l'homéopathie. Nous devons la prouver ou la réfuter.
L'homéopathie
est une méthode thérapeutique curative qui utilise les «empreintes
moléculaires» de substances médicamenteuses qui, sous forme
« moléculaires» pourront produire des «symptômes» similaires à ceux
présentés par le patient. La «Similarité» des symptômes produits par la
substance et la maladie indique que les molécules médicamenteuses et les
molécules pathogènes ont des groupes fonctionnels «semblables», par
lesquels ils peuvent se lier à des molécules biologiques «semblables»,
produire des inhibitions moléculaires «semblables» causées par la
pathologie moléculaire «similaire» et qui sont exprimées par des
«symptômes» subjectifs et objectifs «similaires». Les empreintes
moléculaires «similaires» de médicaments peuvent agir comme des sites de
liaison pour des molécules artificielles pathogènes «semblables» en
raison de leur affinité configurationnelle complémentaire, et ainsi les
désactiver et soulager les molécules biologiques des inhibitions
pathologiques, ce qui revient à «guérir». Tel est le sens scientifique
du terme «Similia Similibus Curentur».
La
partie essentielle de cette hypothèse qui doit être prioritairement
prouvée ou réfutée est que la dynamisation homéopathique est un
processus d'empreinte moléculaire, et que les principes actifs des
médicaments dynamisés sont des empreintes moléculaires de molécules
médicamenteuses. Cela doit être prouvé ou réfuté selon les méthodes
scientifiques, pour faire de l'homéopathie une science médicale
légitime.
Les principes requis pour prouver l’hypothèse MIT sont les suivants :
1. Si le concept «d'empreinte moléculaire» est juste, il n’existera
plus aucune molécule de la substance d'origine au-delà de la limite du
nombre d’Avogadro, si la dynamisation a été correctement faite.
2. Si le concept «d'empreinte moléculaire» est juste, l'analyse
chimique du contenu des hautes dilutions d’une substance et le mélange
eau-alcool prouvera qu'ils ont la même composition chimique.
3. Si
le concept «d'empreinte moléculaire» est juste, seuls les médicaments
dynamisés auront des effets thérapeutiques pour autant qu’ils soient
utilisés selon les bonnes indications, mais le mélange eau-alcool brut
ne doit montrer aucun effet.
4. Si le concept «d'empreinte moléculaire» est correct, les études
spectrométriques montreront que les médicaments dynamisés et le mélange eau-alcool sont totalement différents dans leurs organisations supramoléculaires.
5.
Si le concept «d'empreinte moléculaire» est juste, les études in vitro
et in vivo prouveront que les médicaments dynamisés possèdent des
propriétés biologiques inverses de celles de leurs forme moléculaire (en
dessous de 12 CH)
6. Si le
concept «d'empreinte moléculaire» est juste, les médicaments dynamisés
devraient être capable d’agir comme antidote ou de neutraliser les
effets biologiques des formes moléculaires de ces mêmes médicaments.
Ces prévisions doivent être prouvés ou infirmés moyen d'expériences scientifiques.
* * *
"Matière -Énergie - Dilutions"
Traduction (personnelle) texte Chandran K. C
https://www.facebook.com/chandrannambiar/posts/996680813696147
Lors des dilutions par succussions d'un principe actif d'une substance, la matière se transforme t-elle en énergie ?
"De
nombreux homéopathes croient que les substances médicamenteuses sont
converties en «énergie» au cours de la dynamisation (succussion). La
conversion de la «Matière» en «énergie» au cours de ce processus est un
concept largement propagée par des gens qui prétendent que l'homéopathie
est une «médecine énergétique»
Je voudrais demander à ces amis de réfléchir sérieusement sur le point que je vais développer maintenant. Pas de doute que «la
matière n’est rien en soi, mais qu’elle est assimilable à des paquets
d'énergie», comme il est souvent avancé. Mais pensez-vous que la matière
peut être «transformée» en énergie par le procédé mécanique simple de
«succussion et dilution» impliqué dans la dynamisation?
Savez-vous
combien d'énergie est requise pour briser les liaisons chimiques qui
maintiennent les atomes ensemble dans une molécule? « Convertir de la
matière en énergie » ne signifie pas seulement la rupture des liaisons
chimiques, mais aussi la rupture des atomes en particules subatomiques,
et la conversion des particules subatomiques en «énergie ». Comment
peut-on imaginer que nous puissions diviser l’atome par le simple
processus de la dynamisation?
Même
si vous y parveniez, comment cette «énergie atomique» pourrait-elle
préserver les «propriétés médicinales» de substances médicamenteuses?
Savez-vous que les « propriétés médicinales » de substances
médicamenteuses sont liées avec leur structure et leurs propriétés au
niveau moléculaire?
Lorsque
la matière est convertie en énergie, cette énergie sera la même, que ce
soit à partir de soufre, de noix vomique ou de calcarea. Une fois que
vous brisez les liens inter-atomiques des molécules, les atomes ne
peuvent pas conserver les propriétés des molécules de départ. Un atome
d'oxygène possède les mêmes propriétés de l'atome qu’il soit issu de la
noix vomique, de l'eau ou de toute autre molécule possédant de
l’oxygène. Lorsque vous scindez les atomes en particules subatomiques,
les protons et les électrons seront les mêmes, indépendamment des atomes
dont ils sont issus. Si vous divisez encore l’atome en libérant son
énergie, celle-ci ne sera pas différente selon les atomes d’origine.
Avec cette connaissance scientifique basique, comment pouvez-vous
imaginer que l’énergie d’une substance complexe puisse être conservée
dans l’énergie produite par la scission de la matière? S'il vous plaît
rappelez-vous, que les propriétés médicinales et les propriétés
chimiques des substances médicamenteuses dépendent de la structure
moléculaire, et non pas d’une «énergie atomique» universelle.
Vous
savez que l'eau contient de l'hydrogène et de l'oxygène. Mais les
propriétés de l'eau ne sont pas révélées par l'hydrogène et l'oxygène.
L’hydrogène issu de l'eau ou de toute autre source aura les mêmes
propriétés. Si l'hydrogène est divisé en protons et électrons, ceux-ci
ne révèleront pas les caractéristiques spécifiques de l'hydrogène. Les
protons provenant de la division de tout atome auront les mêmes
propriétés. Si nous divisons ces particules subatomiques en «énergie»,
comment pouvez-vous attendre à ce que cette énergie affiche les
propriétés de l'eau?
Les propriétés médicinales de substances dérivent de leur structure
moléculaire et de leurs propriétés chimiques. Cela ne peut pas être
conservé par «l’énergie» générée par la division de la matière au niveau
subatomique. Cette connaissance scientifique de base est connue de tout
lycéen. Mais les homéopathes préfèrent oublier les fondements
scientifiques qu'ils ont appris, dans leur empressement à justifier des
théories non scientifiques au nom de l'homéopathie. Ceci est très
décevant.
Par
exemple, l'atropine est un composé chimique de formule C17H23NO3. Il
agit sur certaines molécules biologiques et produit différents effets
moléculaires, exprimés par un certain nombre de symptômes. Mais, si nous
divisons l’atropine en carbone, azote, hydrogène et oxygène, ces
éléments chimiques auront des propriétés totalement différentes de
l'atropine. Voilà pourquoi je dis que les propriétés médicinales des
médicaments sont déterminées par leur structure et les propriétés de ces
molécules, pas par «énergie» qui y est contenue."
* * *
"Redefining homeopathy- Molecular Imprints Therapeutics (MIT)"
Un document de 982 pages regroupés en 197 articles pour comprendre la théorie MIT
* * *
Blog : Recent Homeopathic Research Dr. Md. Ruhul Amin
How and why Homeopathy
is Scientific
* * *
Solvatochromic dyes detect the
presence of homeopathic potencies
Steven J. Cartwright
DiagnOx Laboratory, Cherwell Innovation Centre, Upper
Heyford, Oxon, OX25 5HD, UK
Résumé :
Des colorants solubles
détectent la présence de dilutions
homéopathiques
Une approche systématique de la conception d’un système chimique simple pour
investiguer la nature des médicaments
homéopathiques a conduit à l'élaboration d'un protocole expérimental dans
lequel des colorants solubles sont utilisés comme sondes moléculaires de
solutions diluées et agités.
La spectroscopie électronique a été utilisée pour suivre l'évolution de
l'absorbance de cette classe de colorants dans le spectre visible en présence
de dilutions homéopathiques.
La preuve est présentée en utilisant six colorants solubles dans trois solvants
différents. Dans tous les cas les dilutions homéopathiques ont montré des
changements cohérents et reproductibles dans les spectres des colorants.
Les résultats suggèrent que les
dilutions influencent la chimie
supramoléculaire des colorants solubles en augmentant soit l'agrégation ou la désagrégation des
colorants selon sa structure.
Des colorants comparables
dépourvus de la fonction intramoléculaire de transfert de charge des colorants
solubles ne sont pas affectés par les dilutions homéopathiques, suggérant que
les dilutions nécessitent le dipôle oscillant des colorants solubles pour qu’il y ait une interaction efficace.
Les implications des résultats présentés, tant pour la compréhension éventuelle
de la nature des médicaments homéopathiques et de leur mode d'action, ainsi que
les orientations futures de la recherche dans ce domaine, sont discutées.
* * *
How water has memory. The Quantum Dynamics of Dr Jacques Benveniste's research
Comment l'eau acquiert-elle une mémoire, la dynamique quantique
des recherches du Dr Jacques Benveniste.
La chercheuse et homéopathe Christina Munns développe la
dynamique quantique de la recherche du Dr Jacques Benveniste, et explique
pourquoi certaines tentatives de reproduction de son travail ont échoué.
Résumé de la publication :
Le but de ce document est de
fournir une explication plausible de la dynamique grâce à laquelle les
molécules d'eau conservent les informations d'une substance en hautes dilutions.
La dynamique quantique de la
désintégration bêta (radioactivité) est expliquée ainsi que la description de la
façon dont les anticorps anti-IgE se fixent à l'FcsRI, FcεRI (Fc epsilon RI), des
récepteurs IgE de haute affinité des mastocytes et des basophiles à l'échelle
quantique.
L'article explique également
comment la dynamique quantique des états de dilutions élevées d'anticorps
anti-IgE stimulent une réponse immunitaire chez les basophiles, fournissant
ainsi une réponse scientifique à la question controversée des résultats de la
recherche du Dr Jacques Benveniste et du Pr Madeleine Ennis sur les hautes dilutions d'anticorps anti-IgE.
Le travail explique aussi que l’homéoprophylaxie
œuvre à l'échelle quantique en biologie pour induire une réponse immunitaire à
un état pathologique.
Mention est également faite de
la nécessité d’une approche au niveau quantique pour quantifier
scientifiquement la différenciation des états quantiques entre les différentes
dilutions des produits homéopathiques.
http://hpathy.com/scientific-research/water-memory-quantum-dynamics-dr-jacques-benvenistes-research/
* * *
Memory of water (Martin Chaplin)
Le terme «mémoire de l'eau» est
une expression populaire qui est principalement associée à l'homéopathie et
Jacques Benveniste à la suite de ses travaux
et ceux d’autres équipes de recherche sur
les allergies. Ces différents chercheurs ont rapporté que des solutés soumis à des
traitements physiques séquentiels et à des dilutions montrent des effets
biologiques différents de ceux utilisant seulement l'eau utilisée pour ces
dilutions. Le sujet a suscité beaucoup de controverses avec de nombreux
scientifiques qui les rejetèrent purement et simplement sans étudier les
éléments de preuve. Le sujet a fait l'objet d'un certain nombre d'articles notamment
dans la revue Homéopathie en juillet 2007 (voir : http://www.badscience.net/2007/08/490/) qui ont été commentés (M. F. Chaplin, The memory of water; an overview,
Homeopathy 96 (2007) 143-150; (b) P. Wilson, Comment on “The memory of water;
an overview”, Homeopathy 97 (2008) 42-43. (c) M. F. Chaplin, Reply to Comment
on “The memory of water; an overview”, Homeopathy 97 (2008) 43-44. (d) P.
Fisher, The memory of water: a scientific heresy? Homeopathy 96 (2007) 141-142.
(e) P. Fisher, On the plausibility of Homeopathy, Homeopathy 97 (2008) 1-2).
Bien qu'il existe
beaucoup de constations indiquant que l'eau présente des propriétés qui
dépendent de son traitement préalable (autrement dit, l'eau possède une
mémoire), les preuves expérimentales indiquent que ces changements sont dus
essentiellement aux changements de surface du soluté se produisant au cours de
ce traitement. Les phénomènes de mémoire constatés expérimentalement ne peuvent
cependant pas être considérés comme soutenant les principes de base de
l'homéopathie, même si ils peuvent en expliquer certains effets.
Une synthèse (non exhaustive) des mécanismes causalistes hypothétiques de la "mémoire de l'eau"
Source :
http://www1.lsbu.ac.uk/water/memory_of_water.html
* * *
Une mémoire ondulatoire des liquides :
Une goutte rebondissant sur un
bain de liquide en vibration verticale peut se mettre spontanément en
mouvement, sous l’action des ondes qu’elle a elle-même générées. Celles-ci,
appelées ondes de Faraday sont entretenues par la vibration du bain durant un
temps de mémoire qui peut être contrôlé expérimentalement. Le champ d’ondes
stationnaires généré par la goutte contient ainsi dans ses motifs
d’interférence une mémoire de la trajectoire précédemment suivie…
Water–the active medium of
circular passage between energy, information and matter.
Prof. dr. Igor Jerman, Vesna Periček Krapež
Bion Institute. Ljubljana, Slovenia, EU
October 2018
This presentation speaks about the transference of
molecular information (its vibrational field structure and function) into
water. It may be a contact method (an originating substance in contact with the
water) or a non-contact one (transference via a carrier field). Epitaxy
concerns the entanglement of stable water clusters (coherent domains) with the
original molecular vibrational field. Later, these clusters may emulate the
nature of the original substance(s) either in organisms or in specially designed
chemical systems.
https://www.researchgate.net/publication/328389867_Water_-_the_active_medium_of_circular_passage_between_energy_information_and_matter
* * *
Background mechanisms of UHD working
Basé
sur les phénomènes des hautes dilutions (Ultra High Dilutions) déjà connus et
confirmés ainsi que sur certaines théories proposées plus élaborées qui tentent
de les expliquer, le but de la présentation est d'explorer quelle théorie
pourrait être la plus appropriée pour le développement de la science des UHD.
Cela devrait conduire à une solution qui serait
acceptable pour la majorité de la communauté scientifique concernée
(physiciens, physico-chimistes, biologistes, médecins, etc.).
* * *
The Theory of Vibrational Imprints
Jerman, I., Periček Krapež, V. (2019).
The Theory of Vibrational Imprints.
Chapter four in Transdisciplinarity and Translationality
in High Dilution Research. (eds. Leoni
Bonamin, Silvia Waisse), Cambridge Scholars Publishing, pp. 68 –81,).
Résumé:
Une nouvelle science des
structures mésoscopiques (https://fr.wikipedia.org/wiki/Physique_m%C3%A9soscopique) d’eau à longue durée
de vie a émergé et se développe régulièrement. Elle ne présente aucune contradiction
envers l'homéopathie et d'autres méthodes permettant d'imprimer des
informations moléculaires dans l'eau.
La science étudie
principalement les caractéristiques biologiques et physico-chimiques de l'eau,
particulièrement de celle qui est modifiée, dans laquelle il ne reste parfois
aucune trace de la substance d'origine. Progressivement, une base théorique
pour des phénomènes validés expérimentalement se développe.
De nombreux facteurs
concernant les effets singuliers de l'eau informée ont été identifiés et
attribués à des structures d'eau mésoscopiques (clusters = grappes): domaines de
cohérence de types variés (Yinnon, 2011), structures nano-associées (Konovalov,
Rhyzkina, 2014), nanéons (Montagnier et al., 2015) ), agrégats d’eau (Sedlák,
2006), nanoparticules (Elia et al., 2014), etc.
Ces structures d’eau ont
été observées empiriquement et sont pressenties pour véhiculer des informations
moléculaires, qu’elles soient générées de façon homéopathique ou non, par
exemple électroniquement. Les structures hydriques mésoscopiques et leurs
effets physicochimiques, ainsi que biologiques, doivent être appréhendées comme
un phénomène de champ quantique méso/macroscopique comprenant enchevêtrement ou
intrication
entre les substances utilisées et les structures
d’eau, une empreinte épitaxiale de la structure vibrationnelle de la substance
avec stabilisation à long terme des
empreintes vibratoires ( probablement via des domaines cohérents) et les
influences physico-chimiques de ces empreintes dynamiques sur d’autres
substances ou organismes.
L'enchevêtrement de
substances avec des structures aqueuses peut s'effectuer via des moyens
homéopathiques classiques d'agitation vigoureuse, bien que des dilutions en
série suffisent parfois. Cela peut être mis en œuvre également en utilisant
divers champs, tels que les champs magnétiques ou électromagnétiques, sans
contact entre l'eau et les substances utilisées. La science émergente de l'eau
mésoscopique soulève encore de nombreux problèmes non résolus, notamment les
mécanismes exacts d'épitaxie, d'enchevêtrement, des secousses vigoureuses (succussions)
dans l'homéopathie, le rôle des résidus de substances originales, etc.
Bibliographie :
Elia,
Vittorio, & Elena Napoli. "Dissipative
structures in extremely diluted solutions of homeopathic medicines: A molecular
model based on physico-chemical and gravimetric evidences." International
Journal of Design & Nature and Ecodynamics 5, no. 1 (2010): 39-48.
Konovalov,
Alexander I., & Irina S. Ryzhkina. "Formation of nanoassociates as a
key to understanding of physicochemical and biological properties of highly
dilute aqueous solutions." Russian Chemical Bulletin 63, no. 1 (2014):
1-14.
Montagnier, Luc, Emilio Del Giudice, Jamal
Aïssa; et al. "Transduction of DNA information
through water and electromagnetic waves." Electromagnetic biology and
medicine 34, no. 2 (2015): 106-112.
Sedlák,
Marián, & Dmytro Rak. "Large-scale inhomogeneities in solutions of low
molar mass compounds and mixtures of liquids: supramolecular structures or
nanobubbles?" The Journal of Physical Chemistry B 117, no. 8 (2013):
2495-2504.
Yinnon, Tamar A., & Carmi A. Yinnon. "Electric dipole aggregates in very dilute polar liquids: theory
and experimental evidence." International Journal of Modern Physics B 25,
no. 28 (2011): 3707-3743.
* * *
Physicochemical Investigations of Homeopathic
Preparations:
A Systematic Review and Bibliometric Analysis—Part 1
Objectifs:
La dernière revue systématique des recherches physicochimiques
effectuées sur les préparations homéopathiques a été publiée en 2003.
L’objectif de cette étude est de mettre à jour et d’élargir l’état actuel des
connaissances dans le domaine des propriétés physicochimiques des préparations
homéopathiques.
Dans la première partie de l’étude, nous visons à présenter un
aperçu de la littérature en ce qui concerne la qualité de la publication et les
méthodes utilisées.
Dans la deuxième partie, nous cherchons à identifier les techniques
expérimentales les plus intéressantes.
Avec cela, nous visons à être en mesure de générer des hypothèses
significatives concernant un mode d’action possible des préparations
homéopathiques.
Physicochemical Investigations of Homeopathic
Preparations:
A Systematic Review and Bibliometric Analysis—Part 2
Objectifs:
Dans la première partie de
l’examen des recherches physico-chimiques menées sur les préparations
homéopathiques, les auteurs ont identifié des publications pertinentes d’une
qualité de notification suffisante pour permettre une analyse plus approfondie.
Dans le présent article, les auteurs analysent ces publications pour identifier
toute preuve empirique de propriétés physicochimiques spécifiques de
préparations homéopathiques et pour identifier les techniques expérimentales
les plus prometteuses pour les futures études.